Slut. Ô Slut. Ô ma putain. Ma chaire, ma moitié, ma mienne. Pourquoi t'éloignes-tu de moi ? Ô Slut. Je jetterais des cadavres à des pieds, je baiserais tes phalanges durant des nuits entières, je dégusterais les fontaines de tes yeux par d'habiles et tendres caresses pour un seul de tes sourires. Je déchirais mon âme et mon corps pour que tu me reviennes ma tendre... Je te tend ce cœur ensanglanté encore palpitant dans le creux de ma main. Ce cœur à toujours été tien ! Toujours uni à son jumeaux que je convoite tellement. Ô Slut, reviens moi !
Ma sœur, je me meurs de te serrer dans mes bras, d'écraser ton corps contre le mien.
Ton absence me pèse tellement. Ton infidélité me détruit. Est-ce là une punition ? S'il te plait, ma chérie, s'il te plait, pardonne mes fautes. Ce manque de promiscuité entre nous cause mon chagrin, ma perte, ma haine.
Tu es ma drogue. J'ai tant besoin de toi. Je veux te sentir.
La hantise de t'oublier m'habite.
Reviens moi Slut.
Je te prie à genoux, je mendie ton affection.
Ô ma putain. Cesse cette torture. Cesse de te jouer de moi.
Reviens.
Reviens je t'aime !
Je t'aime à en faire crever !